MES ANTICORPS PENDANT L'APOCALYPSE
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Un virus zombie s'était alors répandu partout dans le
monde. Ma mère et moi, nous pensions que nous sortions
de la maison, nous nous ferions dévorer par des zombies,
nous avions fait nos bagages mais nous avions décidé
de rester chez nous. Il y avait un bunker souterrain, et
seulement les gens ayant payé des centaines de millions
de wons (monnaie coréenne) avant le désastre pouvaient
y rester.
Soudain, une pluie de météorites est tombée du ciel, et les
gens se sont transformés en zombies, alors nous sommes
sortis, mais nous nous sommes séparées, alors je lui ai dit
de ne pas s'inquiéter car j'étais en vie. Je me suis rendue
dans un parc d'attractions avec des montagnes russes. Un docteur a réussi à retirer le virus zombie de l’air. Mes
amis et moi nous nous couvrions le nez et le visage, mais
j'ai mangé quelque chose qui était contaminé, alors j'étais
condamné à me transformer. Mais bizarrement il ne s’est
rien passé, et je suis restée humaine.
Je suis allée dans un bâtiment, les pommes de terre tombaient du ciel, et quand je suis tombée sur le sol, il était recouvert d'eau, comme si un raz-de-marée avait lieu. Je suis sortie dehors et j'ai nagé dans les égouts afin de me protéger des pommes de terre, mais l'odeur y était horrible, alors j'ai continué de nager. Je me suis rendue dans un centre de contrôle,
mais des zombies m'ont mordue à beaucoup de reprises. J'ai alors senti que j'allais me transformer, mais toujours rien, je me suis demandé si mon corps entier n’était pas un anticorps.
Il y avait toujours des zombies dans la pièce, je leur ai demandé : "Vous ne voulez pas rentrer chez vous?". Et je me suis exclamée : "Je veux rentrer, je suis un anticorps." J’ai cru qu’une autre docteure m’avait entendue. J'ai pensé que si elle était du côté des méchants, elle viendrait me tuer. Donc, j'ai donné un antidote aux zombies, je leur ai dit de se soigner si ça tournait mal. Mais la docteure a tout entendu, et j'ai caché l’antidote derrière une poupée.
Elle a prétendu ne rien savoir, et ensuite a réussi à allumer la poupée. J'étais choquée. Mais en fin de compte, il s’agissait d’un médicament normal, qui ne marchait que sur moi, alors je me suis mise à pleurer, et je me suis échappée.
Je suis allée à l'endroit où ces docteurs fabriquaient cet antidote, mais ils n’étaient pas là. Ils m’ont dit qu'ils écriraient la recette et qu’ils m'appelleraient. J’y suis alors retourné, et j'ai revu cette docteurs en train de parler d'anticorps, et qu’ils avaient envoyer des espion afin de repérer les gens munis d’anticorps, et de les tuer. J’ai alors pensé à en parler aux médecins gentils, mais je me suis réveillée.